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Notes sur le titre : Nombreux à s'être réfugiés en France à la fin de la Guerre civile lors de l'instauration du régime franquiste, les républicains espagnols y ont déployé une intense activité éditoriale. Formant, jusqu'au début des années 1960, le contingent d'exilés politiques le plus considérable, ils ont édité plus de 650 titres de périodiques. Tous les titres n'eurent pas la même durée ni la même nature : si certains parurent régulièrement, beaucoup eurent une vie éphémère car, financés par les organisations de l'exil et leurs militants, ils vivaient de façon précaire. À plusieurs reprises, les publications espagnoles furent frappées d'interdiction : en 1945, 1950, 1953, 1960, 1961 et en 1963. Cette intense activité éditoriale était le reflet d'une forte structuration de l'exil républicain espagnol en de nombreuses organisations politiques, syndicales ou associatives, marquées par des dissensions anciennes et de nouveaux conflits. Cette presse était centrée sur l'Espagne et les stratégies de lutte contre le franquisme. Cependant, grâce à la place importante accordée à la mémoire historique et à la culture, elle fut également un vecteur privilégié de sauvegarde d'une identité culturelle. Les animateurs de cette presse, responsables politiques, intellectuels ou artistes, constituaient les porte-parole de l'exil.
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Notes sur le titre : Mundo obrero, organe du PCE, commence à paraître dans la clandestinité : il est possible que les premiers numéros de Mundo obrero aient été manuscrits et cela dès 1942. Mundo obrero réapparaît en 1946 à Toulouse puis à Paris, comme organe officiel du PCE et fait suite à Unidad y lucha. Le journal communiste suit régulièrement, au moins jusqu'en 1949, les actions de guérillas menées en espagne. Interdit en 1950, en même temps que les organisations communistes, Mundo obrero continue à paraître clandestinement pendant de nombrsuses années. Il circule en France jusque dans les années soixante.
Notes sur la forme : texte imprimé.
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Notes sur le titre : Mundo obrero, organe du PCE, commence à paraître dans la clandestinité : il est possible que les premiers numéros de Mundo obrero aient été manuscrits et cela dès 1942. Mundo obrero réapparaît en 1946 à Toulouse puis à Paris, comme organe officiel du PCE et fait suite à Unidad y lucha. Le journal communiste suit régulièrement, au moins jusqu'en 1949, les actions de guérillas menées en espagne. Interdit en 1950, en même temps que les organisations communistes, Mundo obrero continue à paraître clandestinement pendant de nombrsuses années. Il circule en France jusque dans les années soixante.
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