Gal Ladevèze, Jules Albert

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Date

1914 - 1916

Organisme responsable de l'accès intellectuel

La Contemporaine

Origine

Jules Albert Gal Ladevèze

Biographie ou Histoire

Jules Albert Gal Ladevèze, un soldat du 168ème régiment d'infanterie, frère de Madame Gal Ladevèze. Né le 9 février 1883, mort pour la France le 18 mai 1916.

Histoire de la conservation

Jules Albert Gal Ladevèze est vraisemblablement l'auteur des images. Mais la boîte qui conservait l'album contenait également une enveloppe adressée à Jean Cordey, présent lui aussi en 1915 dans le secteur de Bois le Prêtre avec le 167ème régiment d'infanterie. D'où la confusion jusqu'à encore très récemment sur l'auteur du film.

Modalités d'entrées

Don (n° 42860 ) effectué par sa soeur Madame Gal Ladevèze, en 1953.

Présentation du contenu

Album photographique et film relatifs à la Première Guerre mondiale.

Évaluation, tris et éliminations, sort final

Aucun tri ou élimination n'a eu lieu.

Conditions d'accès

Librement consultable.

Conditions d'utilisation

La reproduction, la publication ou la citation des documents sont soumises à l'accord préalable de la Contemporaine.

Langue des unités documentaires

français

Film : "Après les combats de Bois-le-Prêtre"

Cote/Cotes extrêmes

BETA 0131

Date

1914-1916

Importance matérielle

1 film noir et blanc muet de 15 minutes

Origine

Gal Ladevèze, Jules Albert

Présentation du contenu

La Contemporaine a confié la restauration des bobine de négatif et positif de format 28 mm aux Archives françaises du film du Centre national de la cinématographie, qui les ont transférés sur 35 mm puis numérisés.

Ce film communément appelé « Bois-le-Prêtre » a été au préalable titré « Attaques à la baïonnette au Bois-le-Prêtre ». C'est un témoignage exceptionnel, à double titre, dont les plans ont été tournés dans un secteur du front en 1915, à la fois dans des tranchées et dans le village de Jézainville situé en arrière des lignes. Il est d'abord très rare que des combattants aient pu filmer au front. Le coût du matériel réservait déjà la pratique cinématographique à quelques initiés. Le poids et l'encombrement du matériel rendaient l'utilisation d'une caméra peu adaptée à l'étroitesse des tranchées. Il fallait également opérer, en principe, en dehors du contrôle du commandement. Dès août 1914, l'Etat-major interdit aux troupes de photographier la guerre. Ces interdictions n'évoquent pas les films, mais c'est sous-entendu.

Langue des unités documentaires

Français

Mots clés typologiques